Cultivant fortement avec cette édition les troubles bipolaires via sa programmation clair-obscur, Retropolis n’a pourtant pas encore manifesté d’épisodes dépressifs, maniaques ou autres symptômes associés. Et c’est pour une bonne raison : s’il réunit à La Bellevilloise deux esthétiques assez différentes pour être presque opposées, à savoir la house groovy de Session Victim et la techno abyssale de Ø [Phase], il parvient à les placer de manière cohérente sur son plateau en faisant le lien par des artistes comme San Soda.
Partant de la lumière et la chaleur pour arriver dans l’opacité glacée, cette soirée se présente comme donc une escalade inversée, à laquelle on vous offre des places !